Le plus célèbre des « Salam les khoya » Paul Mirabel remonte sur scène pour son nouveau spectacle, “par amour”. L’humoriste de 27 ans s’arrêtera à Lausanne et Genève en avril 2025.
Après son ascension fulgurante et le succès de son spectacle « Zèbre », Paul Mirabel revient sur les planches. Celui qui a été sacré « l’étudiant le plus drôle de France » a côtoyé des pointures de la scène telles que Roman Frayssinet, Jérémy Ferrari, Florence Foresti, ou encore Jamel Debbouze, et a trouvé son public suisse au Montreux Comedy Festival, avec son sketch « Je me suis fait racketter ». Passé maître dans l’art de l’autodérision, l’artiste ose révéler les craintes que tout le monde enfouit en soi, et en fait une force. Toujours dans le vrai, Paul Mirabel n’hésite pas à dévoiler ses faiblesses de manière honnête, décomplexée, et bien sûr hilarante.
Avec « par amour », ce n’est plus la « grosse victime qui fait des sketchs sur internet » (selon les policiers parisiens) qui parle, mais un Paul Mirabel plus mûr et qui raisonne, questionne, choisit ses mots, et tente d’expliquer ce qu’est l’amour. Pour Paul Mirabel, qui reprend Georgio, l’amour « peut arriver n’importe quand, et peut durer une minute comme durer dix ans ».
- Theater
Paul Mirabel
Le plus célèbre des « Salam les khoya » Paul Mirabel remonte sur scène pour son nouveau spectacle, “par amour”. L’humoriste de 27 ans s’arrêtera à Lausanne et Genève en avril 2025.
Après son ascension fulgurante et le succès de son spectacle « Zèbre », Paul Mirabel revient sur les planches. Celui qui a été sacré « l’étudiant le plus drôle de France » a côtoyé des pointures de la scène telles que Roman Frayssinet, Jérémy Ferrari, Florence Foresti, ou encore Jamel Debbouze, et a trouvé son public suisse au Montreux Comedy Festival, avec son sketch « Je me suis fait racketter ». Passé maître dans l’art de l’autodérision, l’artiste ose révéler les craintes que tout le monde enfouit en soi, et en fait une force. Toujours dans le vrai, Paul Mirabel n’hésite pas à dévoiler ses faiblesses de manière honnête, décomplexée, et bien sûr hilarante.
Avec « par amour », ce n’est plus la « grosse victime qui fait des sketchs sur internet » (selon les policiers parisiens) qui parle, mais un Paul Mirabel plus mûr et qui raisonne, questionne, choisit ses mots, et tente d’expliquer ce qu’est l’amour. Pour Paul Mirabel, qui reprend Georgio, l’amour « peut arriver n’importe quand, et peut durer une minute comme durer dix ans ».
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