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Falstaff - Giuseppe Verdi

Direction musicale Nir Kabaretti
Mise en scène Arnaud Bernard - décors Alessandro Camera - costumes Carla Ricotti - lumières Roberto Venturi - chef de choeur Véronique Carrot.
Avec: Roberto Frontali, Sebastian Catana, Nicole Heaston, Angela Kerrison, Antonio Figueroa, Ann Quintero, Kendall Gladen, Rodolphe Briand, Marcin Habela, Stuart Patterson Orchestre de Chambre de Lausanne Choeur de l'Opéra de Lausanne « Je vis avec l’énorme Sir John, avec cette grosse panse, ce défonceur de lits, ce briseur de chaises, cet éreinteur de mules, cette outre de vin doux, cette graisse animée, parmi les bouteilles de Xérès et les plaisirs de la chaude cuisine de l’hôtellerie de la Jarretière... Dessiner les personnages en quelques traits, construire l’intrigue, extraire tout le jus de l’énorme orange shakespearienne sans laisser tomber les pépins inutiles dans le verre, écrire coloré, clair et concis, dessiner le plan des scènes de telle sorte que le résultat ait l’unité organique qui en fasse un « morceau de musique » en même temps que quelque chose de différent, faire vivre la joyeuse comédie du commencement à la fin d’une joie naturelle et communicative, que cela est difficile, difficile, difficile ; et pourtant, il faut que cela semble simple, simple, simple… »
Arrigo Boito, librettiste de Falstaff à Giuseppe Verdi

  • Theater
23–28 March 2012

Opéra de Lausanne

Falstaff - Giuseppe Verdi

Direction musicale Nir Kabaretti
Mise en scène Arnaud Bernard - décors Alessandro Camera - costumes Carla Ricotti - lumières Roberto Venturi - chef de choeur Véronique Carrot.
Avec: Roberto Frontali, Sebastian Catana, Nicole Heaston, Angela Kerrison, Antonio Figueroa, Ann Quintero, Kendall Gladen, Rodolphe Briand, Marcin Habela, Stuart Patterson Orchestre de Chambre de Lausanne Choeur de l'Opéra de Lausanne « Je vis avec l’énorme Sir John, avec cette grosse panse, ce défonceur de lits, ce briseur de chaises, cet éreinteur de mules, cette outre de vin doux, cette graisse animée, parmi les bouteilles de Xérès et les plaisirs de la chaude cuisine de l’hôtellerie de la Jarretière... Dessiner les personnages en quelques traits, construire l’intrigue, extraire tout le jus de l’énorme orange shakespearienne sans laisser tomber les pépins inutiles dans le verre, écrire coloré, clair et concis, dessiner le plan des scènes de telle sorte que le résultat ait l’unité organique qui en fasse un « morceau de musique » en même temps que quelque chose de différent, faire vivre la joyeuse comédie du commencement à la fin d’une joie naturelle et communicative, que cela est difficile, difficile, difficile ; et pourtant, il faut que cela semble simple, simple, simple… »
Arrigo Boito, librettiste de Falstaff à Giuseppe Verdi